La branche de la géographie qui se consacre à l’étude de l’environnement est intitulée « géographie environnementale ». Cette dernière met un accent sur les rapports entre les milieux relevant de la biophysique et les rapports qui ont cours dans les sociétés. Ces rapports sont analysés à plusieurs niveaux : planétaire, local et individuel. Les politiques mondiales et les questions planétaires actuelles tournent autour de l’environnement ; ceci donne un élan et un intérêt à la géographie de l’environnement.
Face aux diverses menaces de la survie de l’humanité dans les siècles à venir,
les Etats développent des stratégies visant à maitriser la nature qui est détruite par la main de l’homme. Des conséquences néfastes de la destruction de la biosphère se vivent tous les jours sur la planète, avec des modifications climatiques de grande envergure. Grâce à la géographie de l’environnement, des études détaillées permettent de se projeter dans l’avenir et d’évaluer les actions nécessaires à mener, en vue de la protection de la nature et de l’espèce humaine.
Les débats en géographie environnementale en tant que science interdépendante, se concentre sur la mise en place de nouvelles techniques et politiques de gestion des rapports entre la planète et l’homme. Sur les chaires mondiales de l’environnement, les débats qui y ont cours de nos jours, tournent autour de la désertification, de la biodiversité, des changements climatiques, de la déforestation, de la protection de la couche d’ozone… Des nombreuses conventions imposent d’ailleurs à certains États, des modifications considérables en ce qui concerne l’utilisation des énergies, et même sur l’aménagement de leur territoire. Toutes ces mesures ont des enjeux mondiaux, toutes orientées vers la protection de ce bien commun qu’est la Terre sur laquelle nous vivons.



Dans le domaine de la géographie mathématique, on peut citer de nombreuses branches parmi lesquelles, la photogrammétrie, la géomatique, la topographie, l’analyse spatiale, la cartographie, la géodésie… Grâces aux données que fournissent la géographie générale, la description de la Terre dans l’univers et dans le système solaire est précisée. La géographie mathématique permet aussi de préciser les mouvements du soleil et de lune par rapport avec la terre.
avant d’être des géographes. Ils utilisent un ensemble d’outils mathématiques qui leur permettent d’effectuer des analyses sur les données chiffrées fournies par des calculs mathématiques. Grâce à ces derniers, ils peuvent traiter les informations collectées sur le terrain et diffuser sous forme de données informatiques, les données géographiques récoltées. Les mathématiques est la géographie sont finalement des sciences qui se complètes parfaitement.
Le début exact de
Depuis l’époque des anciens Égyptiens, la
naturelles et la géographie humaine qui intègre les sciences sociales. Pour mieux comprendre le globe et son organisation, la géographie s’intéresse aux concepts tels que le paysage, le territoire, le milieu, la population, la géomorphologie, la biogéographie, la région, l’environnement, l’aménagement du territoire, le système urbain, l’hydrologie, la climatologie, la géographie urbaine et rurale, la territorialité, les différents espaces géographiques, la télédétection, la géopolitique. Et la liste est loin d’être exhaustive.
sion des phénomènes naturels et anthropiques ensuite dans la prise des mesures permettant d’y faire face. En plus,
Définit également comme l’ensemble des caractères qui constituent la réalité physique et humaine d’un espace bien précis. Le terme « géographie » est non seulement une discipline, mais aussi utilisé pour désigner à la fois un territoire, un milieu écologique, et bien plus encore, les sociétés qui occupent ces espaces. Toute interaction entre l’homme, la terre et les phénomènes physiques terrestres constitue l’objet de la géographie.
es spécialités sont diverses ; la géomorphologie, la climatologie, la biogéographie, la paléogéographie, l’hydrologie, la climatologie. Chacune de ces disciplines étudie un composant biotique, abiotique ou anthropique tels que : la biosphère, l’hydrosphère, la lithosphère, l’atmosphère ou l’anthropisation. Ses sciences connexes sont nombreuses : l’océanographie, la climatologie, la météorologie, la biogéographie, géomorphologie, la glaciologie…

dues à la multiplicité des langues. Dans les aires linguistiques homogènes, seul l’accent permet de distinguer l’origine des locuteurs. Ici, les langues malgré leurs divergences, permettent une intercommunication. Dans les aires linguistiques diversifiées où la communication est quasiment impossible (faute d’incompréhension entre les dialectes), il se développe des langues dites franches, destinées à faciliter les échanges commerciaux, sociaux et politiques. Les sociétés modernes notamment dans les grandes métropoles, présentent des diversités de plurilinguisme qui sont issues des influences linguistiques coloniales. Les langues orales sont donc plus exposées à un éclatement. Les langues écrites quant à elles disposent de moyens de codification, ce qui les rend pérennes, et
plus accessibles à l’apprentissage.
sur un territoire donné ;
L’aménagement du territoire
onomique ne cessent de basculer au fil des décennies. La régionalisation des crises économiques imposent de leur côté, une réorientation des échanges, ainsi qu’un repositionnement des puissances mondiales dans une dynamique commerciale plus diversifiée.
sont regroupés suivant une certaine homogénéité, et qui les distingue des autres. Si le paradigme de région paraît obsolète au regard de la mondialisation et de la rupture des barrières physiques régionales, il n’en demeure pas moins important de souligner que la